The supremacy of the Muggles ends here.
Voldemort a ouvert les portes de l'Enfer et contrôle le gouvernement anglais. Sa suprématie ne s'arrêtera pas là. Avec la source de la magie noire à ses côtés, il s'apprête à mettre la main sur tous les continents. Son objectif : soumettre les moldus et les traîtes à leur sang. L'aiderez vous dans ce combat ou rejoindrez-vous la coalition internationale ?
RéglementContexteBottinsLes groupesLes créatures jouablesScénarii et Postes vacantsInvités
A savoir
# Juin 97 : Dumbledore meurt par la main de Severus Rogue
# Eté 97 : Voldemort prend le contrôle du gouvernement
# Septembre 97 : La Coalition Internationale reprend du service et une nouvelle année scolaire démarre sous la domination des Carrow
# Décembre 97 : Voldemort redonne sa liberté avec Seytan et passe un pacte avec ce dernier
# Nous sommes en mai 1998
Contexte
C'est une terrible annonce qui secoue le monde des sorciers : Dumbledore est mort, assassiné par Severus Rogue. Le plus grand mage noir de tous les temps en profite pour mettre la main sur le ministère de la magie. Son objectif : purifier la race sorcière et faire des moldus ses esclaves. Mais son empire ne s'étant qu'aux frontières de la bonne vieille Angleterre. Le monde entier doit être nettoyé. Pour cela, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est en quête de la source même de la magie noire. Le Necronomicon, le livre des monstres et des morts, le mène devant les portes de l'enfer, qu'il laisse grandes ouvertes...
Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ?
Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
Blackout
everything is falling apart
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 Kazuko Ann Lynch [Vampire]

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K. Ann Lynch
K. Ann Lynch

Lynch, Kazuko Ann Kristin Kreuk

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Infos générales
avatar
Bonjour, je m'appelle Kazuko Ann Lynch, née Kazuko Nakagawa, j'ai 363 ans et je suis né(e) le 13 mai 1635 à Wakasa, je suis donc de nationalité Japonaise, naturalisée Anglaise depuis 1940. Je travaille en tant que gérante d'un bar à spectacle sur le Chemin de Traverse. Sinon, je suis homosexuelle et célibataire et je suis modeste, voir aisée. Pour finir, j'utilise Kristin Kreuk comme avatar et je fais parti du groupe L'Ordre du Phénix.


❯ ASCENDANCE : Sang-Mêlé
❯ DATE DE NAISSANCE : 13 mai 1635
❯ NATIONALITÉ : Japonaise, Ann a néanmoins demandé et obtenu la nationalité Anglaise en 1940, après avoir pu justifier d'une présence pacifique sur le sol Anglais depuis quarante ans
❯ ESPÈCE: Vampire
❯ CLASSE SOCIAL : Modeste, tirant sur la classe aisée
❯ ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuelle, ce n'est pas l'information qu'elle se permets de dévoiler à tord et à travers
❯ GROUPE : L'Ordre du Phénix
❯ COMPAGNON : /
❯ BAGUETTE : /
❯ PATRONUS : /
❯ EPOUVANTRARD : Être coincée dans un kimono en soie, le obi se renfermant autour de sa taille en l'étouffant.
❯ CAPACITÉ SPÉCIALE : Outre les capacités liées à sa condition vampirique, Ann a développé comme talent la Polymnie, à un niveau intermédiaire (elle maîtrise à la perfection la capacité ventriloque et voix mélodieuse, maîtrise très bien la capacité Voix de Calliope et a encore besoin d'entraînement pour maîtriser totalement la capacité Chanteur Fantôme.
Des détails sur ton personnage

Quel est son caractère ?
Si Ann est une personne plutôt tempérée et réfléchie, elle est également prête à tout pour défendre ses valeurs et ses convictions. C'est une femme de parole, pour qui la loyauté est la base de tout, et qui serait incapable de trahir ce en quoi, et ceux en qui, elle croit. Elle supporte très difficilement la trahison et le mensonge, deux notions qui ont une connotation très péjorative dans son esprit. Si elle n'est pas rancunière, elle n'a pas non plus le pardon facile. Il est très rare qu'elle pardonne à quelqu'un l'ayant blessée, trahie ou manipulée ; elle ne se venge pas pour autant, préférant de loin ignorer totalement l'existence de ces personnes. Pourtant, elle-même peut se montrer parfois calculatrice, voir manipulatrice, dans certaines situations ; le plus souvent, lorsqu'il s'agit de protéger ses alliés, ses proches ou elle-même. Elle fait tout son possible pour éviter de mentir, mais excelle dans l'art de l'omission qui lui permet de masquer la vérité pour ses propres intérêts et pour ceux du camp qu'elle défend.

C'est une femme d'affaire redoutable, avec un besoin de contrôle ahurissant et parfois déstabilisant. Cela se répercute naturellement sur sa vie quotidienne : Ann n'est pas très douée pour faire des concessions, ce qui lui vaut parfois de passer pour une femme hautaine et suffisante. Néanmoins, les personnes la côtoyant savent parfaitement qu'elle est en réalité effrayée par l'idée d'être soumise à qui que ce soit, et qu'elle impose ses propres règles pour ne plus souffrir de la tyrannie de qui que ce soit. Ces mêmes personnes savent également qu'Ann est une personne entière et protectrice, qui ne se croit pas supérieure aux autres. Ce n'est qu'une façade, une image renvoyée à ceux qui ne savent pas passer outre les apparences. Ce genre de personnes ne l'intéressent pas vraiment. Tout en contradiction, Ann se permet de faire parfois ce qu'elle ne supporte pas que les autres fassent : juger une attitude.

Ayant souffert d'une éducation extrêmement stricte, Ann en garde quelques séquelles. Ainsi, elle n'est pas capable de soutenir le regard d'un homme, par exemple, ayant intégré que cela était un manque de respect et/ou un signe d'impudeur. Elle peut avoir parfois des principes vieillissants, comme le fait de ne pas accepter de montrer ses chevilles ou ses poignets, et elle prend extrêmement soin de son apparence. Très attachée aux Arts et à la Conversation, elle a gardé de son passé de Geisha une très grande culture générale qu'elle se plaît à mettre régulièrement à jour. On peut parfois sentir un léger décalage entre l'époque dans laquelle elle vit physiquement, et l'époque à laquelle elle est encore attachée mentalement, lui donnant parfois une attitude froide et distante qu'elle considère comme étant la mieux adaptée aux relations sociales.

Que pense-elle du gouvernement de Voldemort et son pacte avec Seytan ?
Que pourrait-elle en penser, si ce n'est du mal ? Elle a passé une grande partie de son existence sous la domination de quelqu'un d'autre, et une autre partie à être opprimée à cause de ce qu'elle était ; il lui semblerait impossible de se reconnaître dans le gouvernement ayant été mis en place. Elle le trouve abject, réducteur et intolérable, mais se garde bien d'exprimer son point de vue en public. On ne lui a que trop bien appris à rester discrète et à ne pas se faire remarquer. Le pacte avec Seytan l'effraie, elle sait de quoi sont capables certaines créatures, dont certaines de sa propre race, et elle a peur que le monde ne s'écroule avant même que Voldemort n'ai eu le temps de le réaliser. Elle trouve le Mage Noir très imprudent dans ses démarches de domination, très irréfléchi. Pour Ann, il faut agir, et le faire rapidement, pour éviter la destruction de l'humanité toute entière. Destruction que Voldemort a amorcé, selon elle, et qui ne fera qu'amener tout le monde a sa perte, qu'il s'agisse des sorciers, des moldus ou même des créatures.

Quel est son avis sur l'Ordre du Phénix, sur la Coalition et sur leur combat ?
L'Ordre et la Coalition étant proches de ses propres valeurs, c'est naturellement vers leur combat qu'Ann s'est tournée, de manière officieuse. La paix, la tolérance et le respect sont fondamentaux pour elle, et elle n'imagine pas rester neutre dans un conflit qui pourra prendre des proportions planétaires. Elle a fait son choix, celui de défendre la liberté, celui de défendre la différence et celui de défendre le droit de chacun à la vie et à la reconnaissance. Si elle ne se bat pour ce en quoi elle croit, si elle ne mène pas un combat contre ce qu'elle trouve inhumain, et si elle se contente de rester spectatrice de la destruction du monde qu'elle connaît, elle considère qu'elle ne mériterait rien de moins que la mort par crémation. Si elle reste extrêmement discrète, de sorte de ne pas reliée à l'Ordre pour avoir plus de liberté d'action, elle n'hésite néanmoins pas à rapporter ce qu'elle peut voir ou entendre dans le bar dont elle est patronne aux autres membres de l'Ordre.



Anecdote

Elle vit dans le sous-sol de son établissement, dans un appartement parfaitement aménagé pour ne laisser filtrer aucune lumière extérieure ♦ Si elle a conservé sur ses papiers d'identité son véritable prénom, Kazuko, cela fait des années qu'elle se présente sous l'identité d'Ann Lynch ♦ Elle a toujours eu conscience de son orientation sexuelle, mais n'a ironiquement jamais eu de relation sérieuse avec une femme, car elle considère ceci comme étant contre-nature ♦ Elle tient un journal intime depuis l'année de ses 14 ans, qu'elle continue de mettre à jour une fois par semaine ; il fait aujourd'hui une taille impressionnante et un historien serait particulièrement heureux de tomber sur quelques passages relatés par Ann ♦ Elle déteste parler du Japon, qu'elle assimile à la période la plus douloureuse de son existence ♦ Elle fume, simplement parce que le geste la détend



Dernière édition par K. Ann Lynch le Ven 13 Jan - 12:28, édité 3 fois
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Ton histoire

Née durant l'ère Edo, au sein d'une famille issue d'un milieu très pauvre, Kazuko n'eut pas le loisir de choisir son Destin. Ses parents, bien qu'aimants avec elle, avaient vu son arrivée comme une malédiction, une mauvaise blague du Destin quant à leur propre situation. Du moins, ce fut la vision que son père eu de cette naissance. Répudié par sa famille – qui prônait depuis des générations la puissance des sorciers de pure souche et sans « branches pourries » - pour avoir épousé une cracmolle issue d'une famille de sang-mêlé, Jun Nakagawa renonça à la magie pour vivre humblement aux côtés de sa femme, Megami. S'étant vu confié une parcelle de terre cultivable par les forces militaires féodales, il parvenait encore à nourrir sa famille lorsque le ventre de sa femme s'était arrondi pour l'arrivée de Kazuko. Mais les récoltes commencèrent à se tarir, et Jun fut convaincu que ses propres parents avaient jeté sur lui et sa descendance un maléfice  puissant pour l'empêcher d'être heureux et serein. Tel était, d'après lui, le prix à payer pour avoir oser défier sa lignée, et pour avoir écouté son cœur plutôt que sa raison.

La grande famine qui débuta en 1641 au Japon ne fit que renforcer les craintes de Jun, qui n'était plus en mesure de nourrir sa femme et sa fille. Megami mourut de faim, comme tant d'autres japonais à cette époque, et Kazuko manqua de périr également. Ce fut le coup de grâce pour Jun, qui implora ses parents de lever la malédiction jetée sur sa famille. Bien entendu, aucune malédiction n'avait été faite à l'encontre du mariage ou de la descendance de Jun, mais les Nakagawa se gardèrent bien de le lui signaler ; au lieu de quoi, ils se servir de la détresse de leur fils pour effacer la moindre trace de ce qu'ils considéraient comme une abjecte alliance. Ils demandèrent à Jun d'abandonner Kazuko, et d'oublier jusqu'à son prénom. De chagrin et de désespoir, Jun obéit à sa famille, à une condition seule qu'il imposa ; pouvoir trouver à son enfant un foyer capable de la nourrir et de lui offrir un métier. Cette condition fut acceptée par le clan Nakagawa et ce fut ainsi qu'à six ans, Kazuko fut confiée à une Okiya Sorcière ; une maison de geishas aux principes bien particuliers.

****

L'Okasan de cette Okiya, la gérante de l'endroit, était une vampire presque aussi âgée que les membres du Conseil des Anciens, à la beauté et au charisme renversant, qui recueillait les orphelines du pays, sans distinction d'âge ou de beauté ; à priori, seulement. La seule condition à leur intégration dans sa très grande maison était d'avoir le sexe féminin. Ces orphelines étaient par la suite divisées en plusieurs groupes, non seulement en fonction de l'âge, mais également en fonctions de la beauté, et des prédispositions magiques. Ainsi se trouvait trois groupes d'enfants de 5 à 9 ans ; le premier était réservé aux enfants d'une grande beauté n'ayant pas encore manifesté de prédispositions magiques, le second était réservé aux enfants d'une beauté moyenne n'ayant pas encore manifesté de prédispositions magiques et le troisième était réservé aux enfants n'ayant que peu de beauté et n'ayant pas manifesté de prédispositions magiques. Ce fut dans le premier groupe que Kazuko fut envoyée à son arrivée dans l'Okiya.

À partir de 9 ans, les jeunes filles des deux premiers groupes étaient par la suite divisées de nouveaux en deux groupes : le premier composé de jeunes filles ayant montré des signes d'aptitudes magiques, et le second composé de jeunes filles n'en ayant pas montré. Les jeunes filles de cette dernière catégorie étaient par la suite revendues à des Okiyas moldues à l'autre bout du pays, bien souvent. Quant à celles de la première catégorie, elles étaient de nouveau divisées en deux groupes : le premier réservé aux jeunes filles d'une grande beauté et le second réservé aux jeunes filles d'une beauté moyenne ; à ce stade, les critères d'évaluation étaient bien plus stricts qu'à leur arrivée, et de nombreuses petites filles pourtant classées d'abord dans le groupe d'enfants d'une grande beauté pouvaient se retrouver dans celui de jeunes filles de beauté moyenne. Les jeunes filles appartenant au second groupe étaient vendues à des Okiyas sorcières de basse réputation.

Quant à celles d'un premier groupe, dans lequel se trouvait Kazuko, leur apprentissage ne faisait que commencer au sein de cette Okiya, qui jouissait d'une réputation célèbre. L'on disait d'elle qu'elle ne formait que les plus jolies femmes de tout le Japon, les plus mystérieuses, et les plus cultivées. L'année où Kazuko devint officiellement Maïko, ou apprentie geisha, il n'y avait plus que deux autres jeunes filles à ses côtés ; toutes les autres avaient été revendues à d'autres Okiyas. Quant à celles qui avaient été considérées comme n'ayant que peu de beauté dès leur arrivée, elle n'en entendit plus parler jusqu'à la fin de son adolescence ; Okasan avait ses petits secrets, qu'elle ne partageait qu'avec le Conseil des Anciens. Mais elle respectait un principe fondateur de la préservation du secret magique ; dans l'ombre, le groupe de celles ayant peu de charmes était également divisé entre jeunes filles ayant des aptitudes magiques, et jeunes filles n'en ayant pas, et celles qui n'avaient manifesté aucun don magique particulier étaient vendues à des maisons closes moldues. Les autres, les sorcières, étaient soigneusement conservées et éduquées, loin du regard des apprenties de la maison.

****

Comme il fallait s'y attendre, l'éducation de Kazuko ne fut pas bercée de tendresse et d'amour. À vrai dire, ces mots furent définitivement bannis de son vocabulaire dès son arrivée dans l'Okiya, remplacés par les suivants : discipline, bonne conduite, pudeur, discrétion, soumission, et serviabilité. Ce n'était pas que l'Okasan de la Maison n'aimait pas les apprenties qu'elle prenait à sa charge, car elle les aimait tous avec une sincérité déconcertante. Mais elle était également particulièrement attachée à la réputation de son établissement. Devenir geisha a toujours demandé des sacrifices énormes, et son but était d'offrir aux jeunes filles formées chez elle tout ce qu'il fallait pour faire face à ces sacrifices sans en souffrir.

De ses six à ses neuf ans, les journées de Kazuko étaient presque entièrement remplies de tâches ménagères dans les parties de l'Okiya qui lui étaient autorisées. Elle avait également le devoir, une fois par mois, d'assister à la préparation des geishas, et une fois par semaine, à celles des apprenties en droit d'accompagner leur « grande sœur » à l'extérieur. Il s'agissait d'un quotidien exténuant, auquel Kazuko se pliait néanmoins sans protester. En très peu de temps, elle était devenue la favorite de l'Okasan, parmi les orphelines de sa génération. Sans repère, Kazuko se contentait d'obéir pour essayer de recevoir un peu de considération ; elle ne faisait que s'attirer, en réalité, la jalousie des autres enfants. Toutes savaient parfaitement qu'après neuf ans, leur destin serait définitivement scellé, et toutes en voulaient d'avance à Kazuko de leur « prendre leur place » : une place chère, et que toutes les petites filles de l'Okiya visaient, celle de maiko.

La veille de la cérémonie des neufs ans, typique de l'Okiya dans laquelle se trouvait Kazuko, cette dernière fut prise à partie par d'autres fillettes qui la frappèrent longtemps dans l'espoir de lui enlever sa beauté et sa docilité. Elle tenta bien, au départ, de se défendre, mais la jalousie rend n'importe qui bien plus fort... ce fut le visage tuméfié, et le corps douloureux qu'elle se présenta à la cérémonie des neufs ans, et qu'elle en passa toutes les épreuves en prenant sur elle autant qu'elle le pouvait. Pour l'Okasan, la beauté de la fillette n'était en rien altérée par les coups de ses camarades, et la détermination de l'enfant ne faisait que renforcer l'avis qu'elle s'était faite de Kazuko. Les coupables - dont l'une, Meji, fut choisie comme maiko aux côtés de Kazuko - furent châtiées avec une certaine sévérité. Kazuko, Meji et Pippi furent choisies ; Meji se retrouva priver de certains avantages accordées à Kazuko et Pippi pour son comportement jugé intolérable pour l'Okasan. Quant à Kazuko et Pippi, plutôt que de se voir rivales, elles décidèrent de se considérer comme membre d'une même famille et vécurent leur apprentissage ensemble, en se soutenant mutuellement, mettant involontairement de côté Meji.

****

L'adolescence de Kazuko fut difficile, et ses journées parfaitement épuisantes. Aux tâches ménagères et à l'aide aux préparations des geishas de l'Okiya s'ajoutaient sa propre éducations ; celle des Arts, de la Magie, du Savoir-Être et de la Culture. Ses journées étaient longues, parfois interminables, et l'enseignement était parfois trop riche. Lorsqu'elle fut en âge de choisir l'Art dans lequel se spécialisé davantage, Kazuko choisi le chant, sans hésiter une seconde. Elle possédait une voix naturellement agréable, qu'elle avait appris à travailler. Elle continua également de travailler la danse, et le maniement de divers instruments de musique, mais elle savait qu'elle pourrait charmer davantage avec sa voix qu'avec quoi que ce soit d'autre. Ce fut une Geisha très froide, mais très juste, qui décida de la prendre sous son aile, lorsque Kazuko fut en droit de faire ses premières sorties en qualité de maiko. Ce fut une période compliquée, durant laquelle elle fit beaucoup d'erreurs qui manquèrent de lui faire perdre sa place au sein de l'Okiya. Mais sa « Grande Soeur » n'avait de cesse de la défendre, répétant que les erreurs n'étaient qu'un pas vers l'excellence et que, de son point de vue au moins, Kazuko était faite pour l'excellence.

Dès lors, l'apprentissage de Kazuko s'intensifia encore. Elle fut forcée d'abandonner son amitié avec Pippi, qui excellait sur le terrain contrairement à elle, et se plongea corps et âme dans les recommandations et les ordres de sa « grande soeur » ; celle-ci se montrait intransigeante, ne lui laissait passer aucune erreur, la privait de nourriture et de sommeil tant et aussi longtemps qu'elle estimait que Kazuko n'avait pas atteint les objectifs qu'elle lui fixait. Pourtant, Negami fut la première femme de laquelle Kazuko tomba amoureuse ; elle représentait pour l'adolescente tout ce qu'elle voulait être, une femme forte, distinguée, capable de faire ployer n'importe qui, respectée et écoutée. Une femme ferme, mais juste, qui ne punissait que lorsque cela était nécessaire. Leur lien devint vite très fort, Negami prenant très à cœur ce rôle de grande sœur, et Kazuko ayant encore plus à cœur de la rendre fière. Et, lorsqu'à ses 18 ans, la virginité de Kazuko fut vendue au plus offrant pour une coquette somme, ce fut Negami qui la prépara et qui la rassura, en lui disant qu'elle serait dans la pièce d'à-côté, et là à la seconde où tout sera terminé.

Si Negami tint parole, il n'en resta pas moins que cette expérience fut traumatisante pour Kazuko. Son innocence avait été vendue à un homme d'affaire très riche, mais qui ne semblait pas avoir une once de douceur ou d'empathie en lui. Kazuko avait tenté de garder toute la dignité et la bienséance que lui avait inculqué Negami, mais cette première fois se transforma rapidement en viol et elle passa plusieurs heures à subir les assauts d'un homme qui voulait « profiter au maximum de ce qu'il avait gagné » ; dans la pièce d'à côté, il avait fallu une détermination de fer à Negami pour ne pas tuer cet homme sans faire de détail.  Et lorsqu'enfin, il était sorti de la pièce, elle lui avait promis simplement que plus jamais il n'aurait le privilège de pouvoir avoir la compagnie d'une Dame de l'Okiya dont elles dépendaient, puis elle s'était précipitée dans la chambre et avait rhabillé Kazuko avec une délicatesse que personne ne lui avait jamais connu auparavant. Il avait fallu plusieurs mois à Kazuko pour se remettre de ce qui lui était arrivé, et Negami plaida sa cause auprès de l'Okasan qui accorda ce repos à la jeune maiko. Mais rembourser l'éducation, le logis et les vêtements à l'Okiya ne pouvant se faire que par le travail, elle fut forcée de retourner très vite auprès de Negami lors d'événement. Il n'y avait que les mots de Negami qui parvenait à la calmer, ceux qu'elle continue parfois de se répéter ; « Plus aucun homme ne te touchera, ni ne te manquera de respect, petite sœur, j'y veillerai personnellement. »  

Et ce fut vrai, pendant plusieurs années. Arrivée à l'âge de vingt ans, il fut présenté à Kazuko, Meji et Pippi une condition obligatoire à la poursuite de leur activité au sein de l'Okiya. Si celle-ci avait une réputation si particulière et si des sorciers plus riches les uns que les autres avaient leurs favorites ici, c'était bien pour une des caractéristiques de cette maison ; les maikos, en devenant geishas, devenaient également vampires afin de conserver à jamais la grâce, la beauté et la légèreté de leurs jeunes années. Naturellement, ce ne fut une surprise pour aucune des trois apprenties. À vrai dire, leur grande sœur respective leur avait déjà parlé de cela, les avait déjà préparé, au cours de leur formation, à ce moment. Mais les règles étaient simples et clairement définies ; chaque maiko disposait de cinq ans pour donner sa décision ; aucune transformation ne pouvait être faite contre le grè d'une maiko ; en cas de refus la grande-sœur de la maiko s'engageait à rembourser tous les frais que la maiko n'aura pas pu payer avant son départ et la maiko s'engage à quitter l'Okiya sans recevoir de compensation financière ; et, enfin, la responsabilité de la transformait incombait à chaque grande-sœur, qui dès la transformation effective, avait pour obligation l'éducation vampirique de leur infant.

Negami laissa plusieurs mois à Kazuko pour réfléchir à cette possibilité, sans lui mentir sur les avantages et les inconvénients d'une vie purement nocturne. Elle lui fit visiter les « réserves » ; là où étaient « stockées » les orphelines qui n'avaient pas été jugées assez belles pour pouvoir prétendre devenir geishas, mais que l'Okiya avait néanmoins sauvé de la prostitution et dont l'Okasan s'occupait correctement. Les jeunes filles qui servaient de nourriture aux geishas de l'Okiya n'étaient pas maltraitées, bien au contraire. Elles disposaient de leur propre quartier au sein de la maison, dans lequel elles pouvaient librement se déplacer, et il était strictement interdit de tuer ou de blesser ces jeunes filles. On leur permettait d'apprendre un métier, tel que tisserande, cuisinière, coiffeuse ou maquilleuse, et à l'âge de 25 ans, elles étaient libres de quitter l'Okiya ; bien qu'aucunes de ses femmes n'acceptaient de le faire, trop dépendantes des morsures qu'elles pouvaient recevoir. Il fallut deux ans à Kazuko pour prendre une décision définitive. Et ce fut à l'âge de vingt-deux ans, au summum de sa beauté physique, qu'elle reçu le Baiser de Negami avant d'avoir le droit à l’Échange. Et il fallut trois jours pour renaître à l'état de vampire.

****

La période qui suivi son retour en tant que vampire fut difficile. Negami cassait chacune de ses pulsions avant même qu'elles n'aient le temps d'apparaître, la brimant et lui inculquant une éducation plus dure et stricte encore que celle qui avait bercé tout le reste de son existence. Negami était derrière chacun de ses pas, l'aidant à se nourrir et à se contrôler, à ne pas se laisser aveugler par la Soif, à éviter la Frénésie. Avec le recul, Kazuko sait aujourd'hui qu'elle avait hérité d'une très bonne créatrice, soucieuse de lui donner les armes pour pouvoir affronter le monde. Cette éducation dura une cinquantaine d'années ; années durant lesquelles Kazuko n'eut pas énormément d'occasion de sortir de l'Okiya, mais pu se perfectionner en tant que Geisha. Elle travailla beaucoup sa maîtrise du chant et des arts, et son éducation à huis clos lui permit de renouer une amitié fusionnelle avec Pippi. Les deux infants s'entendaient et s'aimaient comme des sœurs, partageant leurs doutes et leurs douleurs, sans que leurs créatrices n'interviennent dans la relation qui reprenait son cours. Pippi fut un véritable refuge pour Kazuko, un point de repère et une source de douceur dans l'univers froid de l'Okiya. Lorsque Negami jugea que Kazuko était prête pour pouvoir exercer en tant que Geisha au nom de l'Okiya d'Okasan, la vie de la jeune vampire commença enfin réellement. Elle eut accès au monde en 1710, non plus en tant qu'apprentie, mais en tant que Geisha. Le nombre de règles qu'on lui avait fait ingurgiter durant quasiment toute son existence façonnèrent sa façon de se comporter en société. Elle avait cette même beauté glaciale, cette même distance contrôlée et cette même élégance mystérieuse qui faisait le succès de Negami auprès des riches japonais. Et, très vite, Kazuko fut également très demandée par les clients de l'Okiya.

Comme sa créatrice le lui avait promis, plus jamais aucun homme ne la toucha, et elle se surprit à aimer le métier qu'elle exerçait. Les conversations étaient intéressantes, les rapports cordiaux et respectueux, les histoires qu'elle entendait étaient fantastiques. Chaque sortie de l'Okiya était, pour Kazuko, un moyen de découvrir enfin ce monde qu'on lui avait caché pendant de trop nombreuses années. Afin de l'aider à se faire un nom et une place dans leur domaine d'activité, Negami travailla d’arrache-pied, et fit en sorte de mettre son infant en contact avec un homme qui avait su faire fortune en travaillant dur toute sa vie pour échapper à la vie de paysan à laquelle il aurait dû être destiné. Professeur de lettres, philosophe et alchimiste, Goro Anu avait su briller grâce à son intelligence. Et Kazuko lui avait semblé intéressante pour la culture générale dont elle faisait preuve. Il avait toujours aimé les femmes distinguées, d'apparence inaccessibles, qui avaient pour elles-mêmes assez de respect pour respecter la plus petite règle de bien-séance. Mais plus encore, il avait toujours aimé les femmes avec lesquelles il pouvait discuter de longues heures sans que la conversation ne s'essouffle. Pendant quelques années, il avait régulièrement fréquenté Negami. Ainsi, il n'eut aucune méfiance à se diriger vers Kazuko, que lui avait chaleureusement recommandé sa favorite.

Ce fut, pour Kazuko, la période la plus heureuse de son existence. Une certaine forme d'amour naquit entre elle et Goro. Un amour purement platonique, dans lequel aucun sentiment réellement amoureux ne venait se glisser. Sans nulle doute, Goro tenait à Kazuko, et était fasciné par sa nature. Kazuko, quant à elle, était fascinée par l'intelligence de cet homme qui payait des sommes astronomiques pour pouvoir passer de plus en plus de temps en sa compagnie. Cela n'étonna personne lorsque Goro se présenta à l'Okasan pour prétendre au titre de danna – de protecteur, qui s'engageait à payer tous les frais d'une geisha - pour Kazuko. Au vu de son rang social, l'Okasan n'hésita pas très longtemps à accéder à sa requête, et une cérémonie fut organisée pour officialiser cet engagement pris par Goro en faveur de Kazuko. Il lui fut permis pour la première fois de son existence de passer des nuits dans un autre endroit que l'Okiya, et Goro lui permettait d'avoir accès à certaine indépendance financière qui permit à Kazuko de commencer à mettre de l'argent de côté. Si l'Okiya touchait encore une petite part des revenus de Kazuko, les présents et l'argent que lui offrait Goro suffisait à la mettre économiquement à l'abri. Les diverses rencontres faites par le biais de Goro permirent également à Kazuko de trouver le moyen de mettre Pippi à l'abri du moindre besoin ; un ami très proche de Goro devint le danna de l'amie de Kazuko. Jamais aucun instant de sa vie ne furent aussi doux que ceux qu'elle vécu durant les trente années qu'elle passa aux côtés de Goro. Il fut la première personne à lui parler de la légende d'Asmar et Seytan, en lui parlant des origines des vampires.

Devenu vieux, Goro fini par s'éteindre, comme cela arrive à tous les mortels. Cette mort fut douloureuse pour Kazuko ; elle venait de perdre quelqu'un qu'elle aimait pour la première fois. On lui avait appris beaucoup de choses, mais jamais qui que ce soit n'avait pris la peine de lui apprendre à surmonter la perte d'un être cher, et elle en fut profondément bouleversée. Negami resta à ses côtés, tout comme Pippi qui vécu peu de temps après le même genre de perte, mais Kazuko semblait inconsolable. Elle avait la sensation qu'en mourant, Goro avait emporté avec lui un petit bout de son âme et qu'il avait laissé un vide que rien ne pourrait jamais combler. Elle reprit son travail deux ans après la mort de son danna, mais supplia l'Okasan de ne plus jamais la mettre sous la protection d'un danna. Elle trouva un certain réconfort à apprendre le chant aux nouvelles apprenties de l'Okiya, mais se montrait de plus en plus réticente à exercer en tant que Geisha. Elle profita des quelques changements politiques qui s’opérèrent au Japon pour échapper au métier pour lequel elle avait été formée toute sa vie, mais continua de vivre à l'Okiya en exerçant en tant que professeur de chant. Son emploi du temps, bien plus léger, lui permit également d'apprendre à développer son Talent, grâce à l'aide de sa créatrice. Jusqu'en 1860, il ne se passa rien d'assez particulier pour que ça ai réellement impacté sa vie. Mais les choses basculèrent très brutalement, alors qu'un nouveau gouvernement se mettait en place au Japon. L'Okiya avait commis une double faute, aux yeux de certains membres de ce gouvernement ; non seulement, elle avait formée des geishas, mais elle avait également créée des vampires...

****

L'Okasan recevait de plus en plus de lettres de menace de la part de certains politiques du gouvernement japonais, mais jamais elle ne les avait prise au sérieux, malgré les mises en garde des plus vieilles Geishas de la Maison. Ainsi, lorsque l'Okiya se fit attaquer par des sorciers anti-vampires qui avaient pour but de « libérer les esclaves » et de tuer les Geishas d'Okasan, il y a eut un véritable massacre. Personne, ou presque, n'était préparé à subir ces attaques et lorsqu'il fallu y faire face, l'Okasan donna des ordres très précis : il fallait avant tout mettre les enfants à l'abri, les sortir de l'Okiya et fuir avec elles le plus loin possible. Kazuko fut réquisitionnée pour s'occuper d'un groupe de cinq petites filles de 7 à 9 ans, aux capacités magiques avérées, et parvint à les faire sortir de l'Okiya par un petit passage secret avant que l'Okiya ne se mette à brûler. Negami et Pippi, elles, n'eurent pas cette chance, pas plus que des dizaines d'enfants qui périrent dans le grand incident de l'Okiya. Les Geishas qui se firent capturer furent soumises à une atroce mort ; humiliées, violées, tondues pour être, enfin, laissée au soleil où elles moururent aux yeux de tous. Celles qui avaient essayé de se défendre s'était fait immobilisées violemment par des soldats parfaitement entraînés, et celles qui avaient réussi à fuir ne surent tout simplement pas où aller.

Kazuko, quant à elle, venait de perdre tout ce dont à quoi elle tenait. Il ne lui restait rien. Rien, si ce n'était les petites filles apeurées qui ne comprenaient pas ce qu'il se passait. Rien, si ce n'était les orphelines qu'on lui avait confié et dont elle avait le devoir de s'occuper. Ce fut grâce à ces cinq petites filles que Kazuko ne céda pas à cette envie grandissante de mourir, de se reposer enfin. Elle n'avait pas le droit de les abandonner, elle n'avait pas le droit de les laisser livrées à elles-mêmes. Elle ne les avait pas sauvé pour les abandonner à un sort plus cruel encore que celui qu'elles auraient subi si elles n'avaient pas pu sortir de l'Okiya. Pendant plusieurs semaines, elles restèrent à l'abri dans les sous-sols d'une maison inhabitée, Kazuko ne sortant qu'au début de la nuit pour aller chercher à manger pour les petites filles et ce fut lors d'une de ces sorties qu'elle entendit parler de l'école Mahoutokoro. Elle se renseigna sur cette école, sur son emplacement, et sa décision fut prise très vite ; elle confierait les cinq enfants à cette école magique. Se déplaçant comme elle le pouvait, elle se rapprocha du lieu où se trouvait cette école, et trouva le moyen de se rendre sur l'île qui l'abritait. Elle se présenta au directeur, et lui expliqua ce qui l'avait conduite ici. Elle lui présenta les enfants, leurs histoires, et accepta de devenir leur tutrice. Exceptionnellement, les cinq jeunes filles furent autorisées à rester vivre à l'école, puisqu'elles n'avaient nulle part ailleurs où se réfugier. Le directeur offrit également un logement à Kazuko au sein de l'école, contre sa promesse de ne jamais faire le moindre mal aux élèves et au personnel, ainsi qu'un travail en lui offrant un poste en tant qu'aide scolaire pour les élèves les plus en difficulté ayant besoin de quelques cours théoriques supplémentaires en soirée.

Kazuko prit le temps de se reconstruire, en regardant les cinq petites filles grandir et devenir des jeunes filles et des jeunes sorcières talentueuses. Elle resta à Mahoutokoro jusqu'en 1900, s'investissant auprès des élèves en difficulté autant qu'elle le pouvait. Et, enfin, lorsque ses cinq petites protégées devinrent adultes, eurent des enfants à leur tour, et vécurent une vie stable, Kazuko remercia le directeur de l'école et s'en alla avec le désir profond de quitter le Japon et de recommencer sa vie ailleurs. Elle avait besoin de ça, de partir de ce pays, de mettre son passé derrière elle... Elle décida de partir pour l'Irlande, pour totalement faire un trait sur ses origines et sur tout ce qu'elle avait pu vivre, jusqu'à maintenant. Elle se fit extrêmement discrète, visita l'Irlande, l'Ecosse et le Royaume-Uni pendant quelques années, en vivant de petit travail dans des usines moldues. Elle fit en sorte de mettre de l'argent de côté, et fini par s'installer à Londres en 1930. C'était une vie simple, qui lui faisait le plus grand bien, et dans laquelle elle se sentait enfin en paix. Personne ne savait ce qu'elle était, personne ne la fréquentait assez longtemps pour ne pas la voir vieillir. Mais Londres devint son ancrage, et après dix ans d'hésitation, elle se présenta au Ministère de la Magie pour pouvoir devenir officiellement une citoyenne anglaise, et pour pouvoir s'enregistrer sur les listes en tant que vampire, afin de ne plus avoir besoin de quitter cette ville qui lui permettait de retrouver un semblant de bonheur. Au vu du dossier qu'elle présenta, et des déclarations anonymes que certains sorciers qu'elle avait fréquentés firent en sa faveur, le Ministère de la Magie lui accorda la nationalité anglaise, et s'arrangea avec le gouvernement moldu pour qu'elle devienne officiellement une citoyenne anglaise. C'était comme si on lui permettait une fois encore de renaître. Comme si on lui donnait une nouvelle chance... Une chance qu'elle voulait saisir, qu'elle ne voulait laisser passer pour rien au monde. Devenue Ann Lynch, elle se sentait enfin prête à être heureuse de nouveau.

C'est en construction, désolée, j'écris beaucoup trop Very Happy
Derrière l'écran

Hey, hey, hey ! Vous pouvez m'appeler Absol, j'ai (quasi) 24 ans et je pratique le rp depuis quasiment dix ans maintenant. J'ai trouvé ce forum un peu par hasard, mais j'adore le concept, et puis vous faites des vampires qui tiennent la route, avec un contexte inédit dans un univers que j'adore : je ne pouvais qu'accrocher ! 8D J'espère ne pas faire de bourde sur ma fiche, et j'ai hâte de vous rejoindre ♥️



Dernière édition par K. Ann Lynch le Ven 13 Jan - 12:32, édité 4 fois
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Date d'inscription : 09/12/2016
Kyô Wentz
Kyô Wentz
Bienvenue par ici Very Happy Ravie de voir une vampire jouée !! Le personnage a l'air d'être intéressant en plus Very Happy Si t'as la moindre question, n'hésite pas Very Happy
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Date d'inscription : 27/12/2016
Ethan Ferell
Ethan Ferell
Bienvenue parmi nous ! Wink et bon courage pour la suite de ta fiche I love you
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Messages : 8
Date d'inscription : 29/12/2016
K. Ann Lynch
K. Ann Lynch
Merci, vous êtes trop choux ! ♡
J'ai toute l'histoire en tête, je la rédige dès que j'ai un moment pour le faire ! Smile
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Âge : 31
Messages : 213
Date d'inscription : 27/09/2016
Tally Youngblood
Tally Youngblood
Bienvenue parmi nous Very Happy je rejoins Kyô pour dire que ça plaisir de voir une vampire arrivée sur ce forum cheers

Je te souhaite bon courage pour ta fiche cheers
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Invité
Invité
Bienvenue jolie vampirette Very Happy
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Date d'inscription : 29/12/2016
K. Ann Lynch
K. Ann Lynch
Merci vous deux ♥
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Âge : 58
Messages : 243
Date d'inscription : 28/12/2016
Localisation : Londres
Siegfried Rowle
Siegfried Rowle
Je n'ai pas encore pris le temps de lire ton histoire mais j'aime beaucoup la "première partie" de la présentation, surtout le caractère de ton personnage ! Smile Les contradictions, c'est toujours prometteur ! Very Happy
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Messages : 8
Date d'inscription : 29/12/2016
K. Ann Lynch
K. Ann Lynch
En général j'aime beaucoup jouer des personnages assez contradictoires car je ne peux jamais savoir d'avance ce qu'ils vont devenir au fil de leur évolution, c'est un aspect que j'aime bien développer chez mes perso Very Happy Merci beaucoup en tout cas ! ♡
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Date d'inscription : 05/10/2016
Leah Coalman
Leah Coalman
Bienvenue chère vampire !!

J'ai lu ta présentation qui est vraiment très intéressante et détaillée !! j'ai l'impression de revoir un peu le film Geisha ! (oui c'est à peu près tout ce que je connais sur cette culture Laughing )

En tout cas hâte de savoir la suite ;-) n'hésite pas si tu as la moindre question !
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Âge : 36
Messages : 198
Date d'inscription : 27/10/2016
Lyra Ivy
Lyra Ivy
Bienvenue parmi nous !
Toi aussi tu aimes les personnages entre deux eaux. Wink
Ça fait plaisir de voir de nouvelles têtes rejoindre l'aventure.
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Messages : 8
Date d'inscription : 29/12/2016
K. Ann Lynch
K. Ann Lynch
Merci beaucoup à vous deux ! ♥

Haha, oui, en effet, on doit certainement retrouver un peu de ce film Leah, vu l'époque dont vient Ann et la formation qu'elle a suivi. Je te rassure, je n'ai que de la culture théorique sur ce métier, mais moi il me fascine, alors c'était l'occasion de jouer une ancienne geisha :p

Et j'adore les personnages entre deux eaux Lyra :p
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Messages : 270
Date d'inscription : 09/12/2016
Kyô Wentz
Kyô Wentz
Coucou Smile As-tu besoin d'aide pour ta fiche ? Si oui, n'hésite surtout pas Smile J'ai hâte de lire la suite Very Happy
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Messages : 8
Date d'inscription : 29/12/2016
K. Ann Lynch
K. Ann Lynch
Coucou !

J'aurais simplement besoin d'une petite semaine supplémentaire, encore, si c'est possible ! Je suis désolée, j'ai eu pas mal de petites choses qui se sont enchainées, et je n'ai pas trop eu le temps de travailler sur la suite de l'histoire d'Ann !
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Date d'inscription : 09/12/2016
Kyô Wentz
Kyô Wentz
Pas de soucis Smile semaine accordée Wink
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Messages : 270
Date d'inscription : 09/12/2016
Kyô Wentz
Kyô Wentz
Coucou Smile

Ça fait un moment qu'on ne te pas vu, si tu as besoin d'un délai ou d'aide, n'hésites pas à nous le signaler Smile
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Messages : 8
Date d'inscription : 29/12/2016
K. Ann Lynch
K. Ann Lynch
hey Smile

Tout d'abord, je voudrais m'excuser de ma lenteur plus qu'extrême dans la rédaction de cette fiche, et vous remercier pour votre patience vraiment impressionnante. Si c'est possible, j'aurais effectivement besoin d'un nouveau petit délai. Je me suis un peu emballée pour l'histoire d'Ann, en plus de mes impératifs personnels. Mais je ne souhaite pas abandonner mon personnage, d'autant plus que j'ai bientôt terminé la rédaction de sa fiche. ^^"

Je suis vraiment navrée, je serai vraiment plus active en rp, promis !
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Kyô Wentz
Kyô Wentz
Salut Very Happy

Ta motivation fait plaisir à voir, c'est ok pour ce délai Smile J'ai hâte de te voir en jeu !
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